Pénalité ou drop : 3 points
Essais : 5 points
Essais transformé : 7 points.
On peut aisément montrer que les scores de 5, 6 et 7 sont possibles :
5 : un essai
6 : deux drops/pénalités
7 : un essai transformé
Et maintenant, pour n’importe quel score n, il est possible d’obtenir de score n+3 en marquant un drop ou une pénalité. Et comme les scores de 5/6/7 sont possibles, on peut avoir les scores de 8/9/10, 11/12/13, et ainsi de suite.
Le Geek au rugby
Les puristes excuseront je l’espère le manque de formalisme de cette récurrence. De toute façon ça n’a pas empêché les France de perdre en demi final. La seule solution pour gagner maintenant serait de voyager dans le passé, d’envoyer un courriel à Archimondain et de mettre un puissant laxatif dans la gourde de Wilkinson. Mais si on fait ça, la France gagnerait, et du coup on ne serait pas revenu dans le passé pour en changer le cours. Ce méchant paradoxe briserait sans aucun doute le continuum espace-temps, et l’univers s’effondrerait sur lui-même. (Après les math, la physique).
Dali modernisé
Enfin d’ici à ce qu’on fasse la machine à voyager dans le temps, on aura surement trouvé le gène qui fait gagner au rugby. La FFG protestera contre les rugbymans génétiquement modifiés sous prétexte qu’on ne peut pas contrôler la non-propagation de leurs cultures. En effet, ça commence à faire chier que les footballers ne fassent plus que des passes en arrière et militent pour foutre une putain de fermeture éclaire sur leurs ballons (Après la physique, la génétique avec un soupçon d’épistémologie).
Et pour finir : Un jeu de mot tout pourri
C’est toujours un plaisir de se cultiver pas vrai :)